Lundi 3 septembre
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23:52
Exceptionnellement lundi soir il ne rentre pas car il y a la rentrée scolaire demain. Donc pour ne pas être trop fatigué, il vient passer la nuit de dimanche à
l’appartement. Réveil tendresse le lundi matin, petit déjeuner et dernier bisous.
Dans l’après midi on s’envoie quelques messages par le biais d’internet rien de bien méchant. A 16h31 il m’envoie d’un coup
« Dis tu ne voudrais pas venir me sucer ce soir ? 0:-) »
Forcément j'éclate de rire pensant qu'il me fait marcher et joue dans son jeu. Je lui demande s'il veut que je le rejoigne chez lui.
Il me répond " non à la sortie de mon travail, dans la voiture, à la sauvage:D"
Je lui fais remarquer qu’il est tard et que sa journée se termine bientôt .
Sa réponse « T'as une heure pour venir :D J'attends ta bouche
alors :) »
Pari tenu me voilà partie, je croise les doigts pour pas qu’il ait trop de circulation. J’ai plutôt de la chance ça circule bien. Quarante minutes après, j’arrive et lui envoie un
texto ou je fais celle qui est de mauvaise humeur car je viens d’éclater sur l’autoroute (juste pour lui faire monter la pression) . Il m’en envoit un et me demande où je
suis ? Je lui réponds devant ton travail :-)
Dix minutes après il sort et je monte dans sa voiture le sourire jusqu’aux oreilles. On se dirige vers un parking désert un peu plus bas, je l’embrasse, il retire légèrement son
pantalon et libère son sexe déjà tendu par l’énervement hors du caleçon. Comme une chienne je me jette dessus, aspire rapidement en la tenant fortement de ma main. Il recule le siège et l’abaisse
pour être à son aise. Sa respiration s’accélère et des cris commencent à sortir. C’est excitant de l’entendre prendre son pied et ça me donne encore plus envie de le faire jouir
rapidement. Je suis sauvage descend et monte à la vitesse de l’éclair. Je la garde bien au fond pour sentir la pression partir, j’inspire un grand coup et avale n’en perdant pas une goutte
pour ne pas salir son costar. Lorsqu’il éjacule, j’immobilise ma bouche à la base de son sexe, je tourne très doucement avec ma langue et aspire tout en même temps. Ses hurlements ne s’arrêtent
pas. Après un petit moment, je me redresse et le fixe. Il est encore essoufflé par ce que je viens de lui faire. On a l’impression qu’il a vu un ange, il n’arrive pas à redescendre sur
terre. Il remet son pantalon comme un automate. Il n’en revient pas. Il me raccompagne à ma voiture et on reprend la route chacun de son coté se parlant au téléphone. Halala faire 1h30 de route
juste pour lui procurer 10 min de bonheur. Je m’épate toute seule.
Par Elle
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Publié dans : A deux
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