Chroniques sexuelles au Luxembourg

Depuis la fin de la semaine je n'en peux plus, j'ai besoin de ma drogue, j'ai besoin de Elle... Le dimanche venu, prétextant quelques longueur à la piscine, je cours donc rejoindre ma belle... dans un bois !

Je passe chaque semaine devant ce bois et chaque fois des idées lubriques me viennent en tête. Il m'arrive même de temps à autre de m'y arrêter pour m'adonner au plaisir solitaire de la masturbation.

On se retrouve donc, heureux de se revoir, le sourire illuminant nos visages, un long baiser passionné accompagné de caresses de retrouvailles, puis direction la balade. On emporte quand même un drap pour pouvoir mieux s'installer sur le sol. On part sur un petit chemin et un peu plus loin un autre chemin, plus discret atire mon attention. Bien m'en a pris car il devient pas très praticable pour le commun des baladeurs qui n'ont pas envie de se battre avec les ronces et les branches. On arrive sur une petite clairière et là je m'arrête, en plein milieu du chemin. Je la regarde d'un air espiègle et je lui fais comprendre que j'ai envie d'elle par mon regard pressant.

Elle se colle à moi et on s'embrasse plus profondément. Nos lèvres cherchant ce plaisir du contact de l'un et de l'autre, mes mains caressant son corps de plus en plus chaud et sensible à mes caresses. Je lui relève la jupe sur les fesses, constate avec plaisir qu'elle n'a pas de string et explore ses lèvres humides de mes doigts fébriles. Elle commence à me caresser le sexe, sa main se baladant de haut en bas puis fait descendre mon pantalon. Bien entendu je n'ai pas de boxer cette fois, ayant prévu d'être rapidement disponible pour elle. Elle entame une descente avec ses lèvres jusqu'à venir me gober d'un coup la queue. Je sens sa bouche monter et descendre, pour s'arrêter de temps en temps en l'avalant complètement. Depuis le temps passé sans elle, j'ai le sexe beaucoup plus sensible et je prends un plaisir monstrueux. Je suis debout devant elle, à genoux, me sucant sans relache et avec délectation, quel bonheur. J'adore voir ses lèvres glisser sur mon sexe raide, sentir ses mains me caresser les boules en même temps. Elle prend son temps et continue longuement à me caresser avec sa bouche.

J'ai une furieuse envie d'elle, je l'allonge sur le dos, remets bien le drap et me place au dessus d'elle pour un missionnaire inversé. Ma langue vient se poser sur ses lèvres, glissant tout du long, n'en laissant pas un zone inexplorée, puis je fais sortir son clito de sa cachette et entreprend de lui dire bonjour dans les règles de l'art. Ma bouche s'active avec tout le plaisir que je ressens, appréciant chaque coup de langue, chaque caresse buccale, chaque gémissement que je lui arrache pendant qu'elle me suce. Je fais monter et descendre mes fesses pour faire glisser ma queue dans sa bouche, et j'adore lui enfoncer pronfondément dans la bouche et la laisser ainsi quand je la sens prendre son pied avec ma langue. Je crois qu'elle aime bien ça aussi à sentir ses mains posées sur mes fesses pour m'aider à pousser plus loin. Après lui avoir arraché un orgasme puissant à lui sucer le clito tout en masturbant son point G si sensible et en lui baisant la bouche, je veux la prendre de suite.

Je suis sauvage, je ne l'ai pas vue depuis longtemps et j'ai envie de la sentir crier sous mes coups de butoir. Je la mets donc en position à quatre patte et m'enfonce d'un coup en elle, allant le plus loin possible, faisant reposer mon bassin contre ses fesses. Puis me lachant, je la besogne de plus en plus vite et de plus en plus fort, la relevant pour lui caresser les seins, la vulve humide, pour l'attraper et la serrer légèrement au cou tout en l'embrassant ou lui tenir les cheveux en arrière pendant que je sens ses fesses s'écraser contre mon corps, je vais encore plus fort et je jouis tout en puissance, donnant les coups de reins salvateurs. Elle s'amuse à faire sortir les dernières vibrations de ma queue en jouant avec le bassin et prend du plaisir à m'entendre gémir.

On s'écroule sur le côté et on se fait un énorme calin, prenant plaisir à ses retrouvailles inespérées. Doucement l'envie me reprend de la sentir prendre son pied.

Je glisse donc doucement sur son corps, ma langue explorant ses seins, son ventre, mes baisers se faisant tendres et passionnés, puis j'arrive sur son entre-jambe. J'écarte ses lèvres et fait sortir son clito de ma main, pour pouvoir y faire glisser ma langue dessus. La réaction ne se fait pas attendre, elle gémit immédiatement, ses muscles se contractant sous chaque coup de langue. Je la pénètre avec ma langue, puis avec mes doigts, la sentant vibrer. Je la sens tout à coup se contracter dans son orgasme et commence à remonter vers son visage, l'embrassant, et le sexe de nouveau bien dur la pénétrant. Je m'allonge complètement sur elle, écrasant son corps avec le mien puis j'entame un long va-et-vient. Elle s'agrippe à moi, le souffle court, les gestes brusques sous le plaisir qu'elle prend. Elle me mordille le cou et serre mes fesses dans ses mains pour mieux imprimer le mouvement. Puis je me redresse sur les bras, lui laissant le plaisir de voir mon corps s'activer sur le sien, mes yeux profondément plongés dans les siens. Je regarde ses seins tressauter, je regarde mon sexe disparaitre dans le sien, je sens et je vois son bassin bouger en même temps. Je ne sais pas combien de temps je l'ai prise ainsi, mais c'était long, très long, j'ai sué des litres d'eau sur elle, les abdos en feu, et ses cris de plaisir encore à mes oreilles. Elle a prit un pied pas possible, nos corps mélangés, et moi ne m'arrétant pas, même quand elle pensait que je n'en pouvais plus. Pour me finir elle veut me sucer, je me mets donc debout devant elle et là elle la prend dans sa bouche avec une sauvagerie et une rare intensité, la désirant avec force. De temps en temps je la stoppe dans ses mouvements pour glisser moi même dans sa bouche, mais elle a rendue mon excitation sauvage et j'y vais avec force, mes grognements de plaisir étant puissants. Par contre je n'ai pas tout à fait l'intention de jouir car j'ai envie d'elle à la piscine, depuis le temps que l'on parle de faire des galipettes dans une cabine. J'interomps donc cette magnifique fellation qui m'a durci le sexe à m'en faire mal et on se rhabille.

Une fois dans la cabine, elle enlève son pantalon, je lui enlève le haut et la colle contre moi, son dos reposant sur mon ventre, mes mains serrant ses seins et ma bouche l'excitant. Elle remue des fesses pour m'exciter encore plus puis je veux la prendre par derrière debout. Je la cambre avec mes mains et fait glisser ma queue dans son trou humide et accueillant à souhait. Pour mieux la prendre, je lui fais poser un pied sur le banc, et de suite je glisse plus profondément en elle. Tout se fait en silence, c'est terrible de la sentir comme ça et de ne pas pouvoir l'exprimer oralement. Je la serre donc plus fort avec mes mains, pressant son corps de partout. L'idée lui vient de s'accrocher au porte manteau sur le mur de la cabine juste devant ses yeux et de poser son deuxième pied sur le banc. Elle commence ainsi à s'empaler toute seule sur mon sexe tendu de plaisir. La pression monte de plus en plus, puis je prends le relai et la prend de plus en plus vite tout en silence jusqu'à jouir en la malaxant comme un sauvage pour lui faire sentir mon orgasme. Délicieusement bon.

On part se prélasser dans les différents bains à bulle de la piscine bondée de monde, puis il est temps de rentrer. On retourne aux cabines, commencent à se rhabiller, et là elle m'excite à nouveau, elle joue avec mon sexe puis descend, me suçant sauvagement, je n'en peux plus de toute cette débauche de plaisir et j'ai la queue dure comme un bout de bois. Elle m'avale gouluement le sexe, avec avidité, avec plaisir et moi je prend un pied pas possible tout en bougeant moi même dans sa bouche. J'aimerai rester dans sa bouche plus longtemps mais il est malheureusement temps de terminer de s'habiller.

Dimanche après midi réussi, je suis heureux de l'avoir eue pour moi cet après midi...